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Christophe Poulain

« Ici il suffit de sortir de son jardin pour jouir de la végétation qui nous entoure. C’est calme, reposant : tout ce que je recherchais »

Christophe rêvait de quitter le bruit, la pollution et la foule de la ville pour la quiétude, la verdure et les bienfaits de la campagne. Il a décroché un travail au Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives (CEA) de Gramat et son rêve est devenu réalité. Il nous confie son témoignage.

Un retour aux sources

Né dans l’Oise, Christophe avait toujours vécu en ville avant de rejoindre le Lot en 2023. Le 46 n’était pas un territoire totalement inconnu pour lui, puisque ses grands-parents sont nés près de Cahors et ses parents ainsi que son frère y vivent depuis de nombreuses années. A la recherche d’un cadre propice à l’épanouissement personnel, Christophe a déménagé dans le Lot pour plusieurs raisons :

« Durant toute ma carrière, j’ai habité dans des appartements. Vivre dans une maison individuelle change beaucoup de choses. Je profite d’avoir la nature à ma porte pour randonner. Avant mon installation, j’avais (re)découvert les vallées du Lot et de la Dordogne sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Quand je vivais à Grenoble, certes, la ville se situait au pied des montagnes, mais il fallait prendre la voiture pour y aller. Ici il suffit de sortir de son jardin pour jouir de la végétation qui nous entoure. C’est calme, reposant : tout ce que je recherchais. Un autre point à souligner est que les relations humaines sont beaucoup plus conviviales : les gens sont moins stressés et ils discutent plus facilement. On n’est pas un numéro comme dans les grandes villes. Par exemple, à mon arrivée, j’ai été très bien renseigné par la mairie de Gramat. J’apprécie aussi le climat, la gastronomie et le coût de la vie. En termes de pouvoir d’achat, on gagne sur beaucoup de tableaux. J’ai pu acheter une maison que je n’aurais pas pu acquérir dans les mêmes conditions en ville. On trouve des produits de qualité (direct producteurs, artisans, commerçants) à prix abordable. La nourriture, les assurances… Tout est globalement moins cher ».

Un parcours professionnel riche en expériences

Christophe a toujours exercé dans la recherche. Après une école d’ingénieur à Brest, il a étudié à l’École nationale supérieure d'électrotechnique, d'électronique, d'informatique, d'hydraulique et des télécommunications (ENSEEIHT) de Toulouse. Il a poursuivi avec une thèse au laboratoire de Génie Électrique et Électronique de Paris (GeePS), situé sur le campus de l’école d’ingénieur CentraleSupélec. Puis il a intégré le groupe Schneider Electric en tant qu’ingénieur chercheur. Il a commencé à travailler au CEA de Grenoble en 2007. Il a demandé sa mutation dans le département du Lot vingt ans après.

« Tout d’abord, j’avais envie de changer de thématique de recherche. Ensuite, ce qui m’a attiré au CEA de Gramat c’est la dimension humaine. Je suis passé d’une structure avec 4000 personnes, où 95% des gens étaient des inconnus, à un site de 300 personnes sur lequel il y a beaucoup plus de proximité. Sans parler du cadre de travail en pleine nature : je profite d’une tranquillité qu’il n’y a pas en ville ».

En dehors du travail, Christophe aime se balader et cuisiner les bons produits du Quercy.  

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