Olga Krana

Olga Krana

« Nous avons été séduits par l’équilibre entre vie rurale et modernité qui règne dans le Lot »

Après une première année passée dans le Lot, Olga Krana s’y sent déjà comme chez elle. Un territoire dont les brebis lui rappellent son enfance auprès de ses parents, bergers. Olga est pourtant arrivée dans le département par hasard : cette musicienne grecque est arrivée en France à 21 ans, au cours de ses études d’ethnomusicologie. A la suite d’un master à Poitiers, elle s’est installée dans l’Essonne avec Maxime, son compagnon.

Equilibre entre vie rurale et modernité

« Tout allait très vite en région parisienne, se remémore Olga. J’appréciais la vie urbaine, mais j’ai ressenti le besoin de me reconnecter à la nature. On a regardé où Maxime, qui est ingénieur, pouvait être muté. » Olga et son compagnon ont repéré le CEA de Gramat, dans le Lot. Avant de se lancer, le couple est venu en vacances deux fois sur le territoire, et a été séduit par « la beauté naturelle et l’atmosphère tranquille du Lot, mais aussi l’équilibre entre vie rurale et modernité qui y règne ».

L’arrivée d’Olga et Maxime dans le Lot s’est faite tout en douceur. Le couple a bénéficié de l’aide du réseau accueil « Oh my Lot ! » pour trouver un logement, mais n’a finalement pas eu de difficulté à en trouver un lui-même. Le réseau a également mis Olga en contact avec l’agence départementale Lot Arts vivants, qui a diffusé le CV de cette professeure de piano auprès des écoles de musique du territoire.

Une vie bien remplie

Trouver un emploi n’a pas non plus été un obstacle pour Olga, qui dirige aujourd’hui l’école La musique au coin de la rue de Marminiac, mais intervient aussi en milieu scolaire et travaille sur les trois sites de l’Ecole de musique du causse. Si ce n’est que sa première année dans le Lot, Olga cumule déjà plus qu’un temps plein. Son intégration parmi les Lotois s’est donc faite naturellement, tant par le biais des cours qu’elle donne qu’à travers l’association dédiée à la musique de tradition orale La Granja, à laquelle elle met à disposition son temps et ses talents.

Olga est impliquée dans la vie locale au point d’organiser, avec La musique au coin de la rue et d’autres associations locales, des journées alliant balades musicales, repas commun, bal traditionnel et pétanque. Les festivités, ce n’est d’ailleurs pas ce qui manque ici selon Olga : « Il y a tellement de choses à faire dans le Lot ! C’est un territoire très vivant, par ses bals traditionnels mais aussi par ses différents festivals, comme Souillac en Jazz ou Africajarc » explique la passionnée de musique. « L’offre culturelle du Lot est riche ! Et il est facile de monter sur Paris de temps en temps pour voir des amis, ou une exposition particulière », renchérit-elle. Assez, en tout cas, pour qu’Olga et Maxime souhaitent rester durablement dans le Lot : le couple cherche désormais à acheter un logement.

Olga Krana

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