
Olivier Courtois
« Le Lot n’a rien à voir avec notre ancienne vie. On vit plus tranquillement, dans un joli écrin, le climat est bon, les gens sont gentils… Et je suis 5min de mon travail ici »
À la recherche d’une meilleure qualité de vie, Olivier a posé ses valises dans le Lot. Un changement de vie radical, loin du rythme soutenu de Paris, sa région d’origine.
Sa reconversion professionnelle
Olivier a travaillé pendant 25 ans dans une entreprise de transport d’œuvres d’art, qu’il a intégrée en tant qu’apprenti avant d’en devenir le directeur général. Son amour de la cuisine l’a conduit à travailler le temps d’une saison dans la pizzeria de son cousin à Puy-L’Evêque. En parallèle, il a suivi les formations « hygiène alimentaire » et « permis d’exploitation » (pour le débit de boissons). Il a ainsi pu devenir propriétaire du restaurant « Le Pigeonnier du Lot » (également situé à Puy-L’Evêque), qui cherchait un repreneur. « Le changement de propriétaire s’est effectué en douceur, j’ai été très bien accueilli. J’ai gardé la même carte, et finalement la même clientèle ». Comme tout restaurateur, Olivier attendait avec impatience la réouverture de sa crêperie. Encore une fois, les clients ont répondu présents, et il s’attend à une saison estivale encore plus intense que la précédente.
Son installation dans le Lot
Olivier et sa famille ont choisi le Lot en 2017, et ils n’ont aucun regret. Ils ont habité à Duravel pendant quatre ans, puis ont déménagé à Puy-L’Evêque. « Le Lot n’a rien à voir avec notre ancienne vie. On vit plus tranquillement, dans un joli écrin, le climat est bon, les gens sont gentils… Je suis passé d’1h30 de transport matin et soir à Paris, à 5min de mon travail ici ». Un cadre de vie idéal pour mieux profiter de sa famille au quotidien !
Durant son temps libre, Olivier explore le Lot en courant ou à vélo.
Ce qu’il préfère cuisiner ? Le magret de canard, et en dessert : le tiramisu aux fraises.
Texte et photo Christophe Pélaprat - Magazine DireLot
